Prédation Échanger plus vite sur le loup
Les réunions au sujet de la prédation du loup se poursuivent au parlement. Le groupe de travail réunit le 27 février 2017 par Pierre Morel-A-L’Huissier, député de Lozère, a apporté quelques compléments aux 10 mesures présentées la semaine dernière.
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Le groupe de travail national sur la prédation du loup propose de « fluidifier la communication des informations des acteurs institutionnels vers les éleveurs et le public ». Pour cela, elle envisage :
- La fusion des bases de données de l’ONCFS et leur publication systématique ;
- La publication par les préfets des comptes rendus des Comités loup à l’issue de chaque réunion ;
- L’information par les préfets en temps réel de la présence probable ou avérée du loup dans les différents secteurs sensibles de leur département.
Le deuxième « aménagement » complémentaire proposé par le groupe de travail concerne la révision du concept de « zone de présence permanente », jugé trop contraignant car il est acté à l’issue de « deux hivers consécutifs » de présence permanente.
Améliorer la formation sur les chiens de protection
La troisième proposition est liée aux chiens de protection pour lesquels le groupe de travail propose « d’assurer une meilleure formation ». Celle-ci serait délivrée par un organisme indépendant. L’expérimentation de nouvelles races de chiens de protection est également au menu.
Dernier point abordé : la mise en place de modules de formation dédiés à la prédation du loup dans les lycées agricoles et les formations supérieures agricoles.
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